L’absurde

jay
3 min readJun 11, 2020

On cherche toujours des raisons qui peut expliquer l’état du monde et qui peut donner de la signification à la vie. Ce dont je parle s’agit de la meilleure manière de vivre, de la bonne action et de la justice, et des raisons pourquoi la vie est ce qu’elle est. La vie réelle n’est pas comme les vies des personnages dans les romains et dans les films. Les personnages fictionnelles s’intègrent dans un monde où il y a une grande narration dans laquelle tous ses actions et tous que s’est passé trouvent leur significations.

Mais tant que nous savons, nous n’avons pas d’auteur qui peut nous dire nos rôles et les règles et comment vivre. Sans une telle autorité, on cherche des réponses parmi les divers pays, cultures, religions, et philosophies. Mais même cette initiative n’est pas facile ni franche.

Le problème de relativisme culturel pose un défi à la recherche pour quelque ensemble de principes qui peut résoudre nos questions existentielles. Ce problème résulte de trois observations simples.

  1. Il y a beaucoup de théories de comment doit on vivre sa vie.
  2. Certaines d’entre eux sont en désaccord– viz., désaccord fort. Par exemple, la croyance à un dieu n’est pas du tout compatible avec la croyance à un univers pleinement matériel ou physique.
  3. Finalement, il n’y a point de moyen d’arbitrer entre les diverses options. Il n’y a pas de standard universel auquel on peut faire appel pour déterminer la meilleure théorie de tout.

En raison de (3), il n’est pas possible de résoudre (2). Mais de plus, ce n’est pas seulement qu’il n’y ait pas de standard pareil au présent, mais il n’y a point lieu de croire que c’est même possible (ou désirable). Il reste alors deux options pour avancer d’ici. Ou toutes les façons différentes de comprendre le monde sont plus ou moins également vrai, ou on ne doit pas parler du tout de la vérité d’entre eux.

Le relativisme culturel pose un problème pour l’esprit humain qui veut toujours imposer l’ordre à l’expérience. L’esprit humain n’est pas naturellement comfortable avec l’incertitude, c’est pour ça qu’il cherche toujours des raisons derrière les motifs répétitifs de l’expérience, et surtout les meilleures explications d’entre eux. Donc, qu’est-ce qu’est passé quand la raison soi-même nous dit qu’il n’existe pas une échelle ultime à laquelle toute l’expérience peut être ordonnée? Malheureusement, il n’est pas possible de se rendre le désir pour la signification et la comprehension. Même en comprenant pleinement l’impossibilité de ceux-ci, on les cherche encore.

La résultat est une sensation particulière– une gêne existentielle. On pourrait l’appelle la condition humaine. Dans la vie quotidienne, il est obligatoire qu’on prenne au sérieux toutes les choses: les relations avec les amis et la famille, les lois de la société, le travail, la finance, l’environnement, etc. Mais à la fois, si on réfléchit même un petit peu à ces choses, il s’éclaircit qu’elles sont vraiment complètement arbitraire. Nos croyances et avis sont plutôt le conséquence des conditions socio-historiques dans lesquelles nous sommes nés. Si on avait été né dans un pays différent, ou à autre famille, ou si on avait eu une education différente, ce serait donc entièrement possible qu’on ait des échelles radicalement différent. Ainsi, nous n’appartenons pas à nos croyances. De plus, il est evident que non seulement nos croyances pourrait être différentes, mais aussi le monde soi-même pourrait être autrement otherwise. La configuration mondial dans laquelle nous nous trouvons est essentiellement contingente.

La tension entre l’arbitraire du monde avec la besoin (cognitive et pratique) d’ordre est la gêne dont je parle– la sensation de l’absurde. Ça c’est un sentiment qui est parfois triste, parfois drôle, mais toujours étrange. La condition humaine– la situation existentielle dans laquelle nous nous trouvons– consiste en l’existence avec l’absurde. C’est encore avoir la besoin de faire sens de la vie, bien que le monde nous offre aucune signification. L’absurde est ce qu’attend qui cherche le but pourquoi la vie est-elle comme ça.

--

--